Le Porc et la Jouvencelle
- Hank
- 23 nov. 2017
- 3 min de lecture
1 . La Jouvencelle
Il existe rien de pire qu’une pipe avec les dents.
Ça me fout la rage quand une jeune fille ose prendre ma bite en bouche pour se faire les chicots. La majorité des meufs, elles me sucent pas le gland, elles le rongent comme si c’était un putain d’os. Merde, c’est sensible, cette petite chose.
Mon malheur, c’est que je raffole d’un bon vidage de couilles par la bouche.
J’me suis dit, c’est les jeunes, elles savent plus y faire. Faut que j’arrête de baiser des gamines. J’me suis alors rapproché d’une quarantenaire. J’suis passé de la chair tendre et souple, à de la peau ridée et flasque. Me juge pas, j’voulais goûter à l’expérience. Elle me l’a prise rapidement entre ses lèvres charnues, sans que j’demande rien. Quelle ne fut pas ma déception lorsque je sentis ses canines remonter douloureusement jusqu’à l’extrémité de mon pénis. Merde, mémé, enlève ton dentier que j’me suis dit. J’ai mis rapidement un terme à cette séance de torture et je lui ai planté vigoureusement mon poireau bien au fond de sa cavité vaginale. Après deux trois allers-retours, j’ai giclé sans retenue à l’intérieur. Fallait pas qu’elle compte sur moi pour la faire jouir.
Après ce malheureux épisode, j’ai décidé que la prochaine, j’allais lui apprendre à bien s’occuper de mon appendice. Il me fallait une petite jeune sans trop d’expérience cette fois. J’allais être son formateur.
Me voilà donc en soirée, à gigoter un verre à la main, à la recherche d’un belle écrin pour ma teub. Mon regard parcourt l’assemblée et s’arrête sur une jeune femme. Elle est seule, au bar, attendant que le barman la remarque pour commander sa gnôle. Je m’approche, lui balance un compliment foireux, elle me sourit. S’engage une conversation inintéressante dont je ne saisis pas la moitié à cause de la musique trop forte. Tout ce que je retiens c’est qu’elle a 21 printemps et qu’elle a connu qu’un mec dans sa vie. La meuf idéale. Elle commande son verre que j’lui paye en parfait gentleman qui veut se faire sucer ce soir. Une fois quelques banalités échangées et nos verres vidés, j’ l’a prends par la main et j’attire son frêle corps contre le mien. Elle sent direct mon entrejambe gonflé par mon excitation. « T’as faim » qu’elle me glisse malicieusement à l’oreille. On passe bien deux heures à se galocher et à se tripoter sur la piste. Y’avait plus qu’à la cueillir.
Je la ramène chez moi. On se désape rapidement. Elle commence par me branler frénétiquement. Je lui demande direct si elle veut pas me sucer un peu. Elle m’avoue n’avoir jamais lécher une bite. J’endosse alors mon rôle de maître ès fellation et je prends un ton professoral. « Le plus important », que je lui dis, « c’est de pas y mettre les dents. Je dois sentir que tes lèvres et ta langue autour de mon gland. Faut que tu salives un max dessus, faut bien la mouiller, hésite pas à cracher dessus. »
« Toi, t’as déjà sucé des bites » qu’elle me rétorque la maline.
Je lui dis quoi faire et elle s’exécute docilement. Elle commence par me lécher le gland avec sa langue en me regardant bien dans les yeux. Sans plus attendre, elle l’engloutit complètement en me branlant délicatement à la base de mon pénis. Je pose mes deux mains sur sa tête et j’impose le rythme en enfonçant toujours plus mon sexe au fond de sa gorge. Je ne sens pas ses incisives venir meurtrir la fragile peau de phallus.
Je suis au paradis.
Alors que je sentais monter en moi la douce sève de la vie que j’étais prêt à déverser entre ses lèvres, elle lève la tête, me regarde dans les yeux avec un petit air effronté et elle me dit :
« Je vais t’apprendre à lécher une chatte maintenant »
A suivre
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